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Du Bivouac au Col des Veaux Jeudi 20 Avril 2006, la nuit au bivouac fut agréable, nous nous sommes réveillés, comme la veille, avec un ciel bleu accompagné de fraicheur. Nous espérons surtout que le temps ne va pas changer car compte tenu du programme à venir les choses pourraient se compliquer très sérieusement. Nous nous dirigeons donc vers le col des Veaux que nous rallions par un chemin de terre étroit, terreux plutôt plat, juste ce qu’il faut pour chauffer la machine. |
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Des Falaises de Zarkambide à Bidarray Cette portion du parcours nous permet de rejoindre le village de Bidarray situé au fond d’une vallée beaucoup plus encaissée que celle de Sare. Nous sommes extrêmement surpris par la difficulté de la descente au pied des falaises de Zarkambide. La pente très raide et le chemin rocailleux ne nous permettent pas une progression rapide. Pire encore, cette portion de gr nous conduit à une route qui bien que très ombragée et belle n'en reste pas moins interminable. Nous atteignons Bidarray usés, les pieds en feu et un peu démoralisés par la difficulté de la suite du programme. Nous mangeons sur les hauteurs de Bidarray. |
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De Bidarray au Pic d’Iparla En ce tout début d’après midi, il fait chaud, le soleil tape fort pour la saison. Notre objectif suivant est le massif montagneux situé au Sud-Ouest de Bidarray. Son point culminant est le pic d’Iparla (1044 mètres). La montée y est très raide mais agréable. Nous sommes soulagés de rencontrer enfin un chemin différent qui bien que très pentu, fait appel à d’autres groupes musculaire et qui est aussi moins traumatisant pour les pieds. |
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Du Col de Buztanzelay au Bivouac du "vent" A bout de fatigue, nous trouvons un replat quelques 100 mètres sous le col de Buztanzelay. Nous y dénichons un minuscule terrain plat avec un tout petit filet d'eau courante. L'endroit n'est pas trop accueillant mais nous nous en contentons vu l'heure tardive de la journée et surtout notre état de fatigue! Comme pour la journée précédente les derniers dénivelés sont très durs à gérer. Dans la montée, le pas ralenti et se fait plus pesant. Nous discutons beaucoup moins, gérons l’effort et évitons à tout prix l’essoufflement. |
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